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ces hydrauliciens qui ne prennent jamais leur retraite

Vincent10
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ces hydrauliciens qui ne prennent jamais leur retraite

Message par Vincent10 » 09 janv. 2008, 01:08

Cette image fait partie de celle que j'ai vue, c'est exactement ça.

starhydro
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ces hydrauliciens qui ne prennent jamais leur retraite

Message par starhydro » 09 janv. 2008, 22:18

bonsoir
et merci julien 40 , encore une fois, jamais 2 sans 3 >>> toi  
il suffit de compter les flexibles en haut du moteur pour connaître le nombre des cylindres.( flexible de commande hydraulique d ouverture des soupapes d échappements)

Bulbi
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ces hydrauliciens qui ne prennent jamais leur retraite

Message par Bulbi » 09 janv. 2008, 23:01

Citation :RV4444  a dit :



Pour moi le barbotage fait partie des pertes constantes d'une transmission, il ne dépend pas de la charge. La transmission à vide brasse le même volume d'huile que la transmission en charge.
Ces pertes sont facile à mesurer, il suffit de mesurer la puissance en entrée de transmission à vide.(pas de résistance sur les arbres de roures)



Tout à fait d'accord

Citation :
On peut avoir des trains de pignons qui ne barbotent pas et là ça ne chauffe presque pas. Généralement c'est la pompe hydraulique qui brasse l'huile (pour créer un jet d'huile sur les dents avant leur contact) qui crée l'échauffement.

Dans une transmission on considère les pertes constantes (barbotage, résistance des joints , auxiliaire (pompes))et les pertes liées à la charge (perte d'engrènement avec un rendement de 0,99 par train de pignons pour une transmission mécanique ou rendement du module hydrostatique por une CVT type Vario , Eccom)

Dans les transmissions mécaniques les pertes constantes sont supérieures aux pertes liées à la charge.  


OK pour la pompe à huile, entrainer cette pompe, c'est de la puissance prise sur le moteur, qui est perdue dans le moteur, d'ou chauffe (puissance dissipée = quelques bars x débit de le pompe )

Pour les engrenages, je n'ai pas le bouquin d'Henriot sous la main, mais je suis sur que le profil des dents, bien qu'en developpante de cercle , n'empeche pas le glissement relatif (encore plus vrai sous charge donc flexion de dents). Si tu ne transmets pas de puissance, alors oui tu peux tourner sans huile, tu ne chaufferas pas de toute facon.
Quelle est la classe de qualité des pignons à 0,99 de rendement dont tu parles?

--Message edité par bulbi le 2008-01-09 23:01:41--

Ancelin
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Re: ces hydrauliciens qui ne prennent jamais leur retrait

Message par Ancelin » 02 févr. 2016, 11:49

Bonjour messieurs, je suis à la recherche d'une info assez importante pour moi mais je ne trouve pas de réponse. Donc je me permet de vous demander dans ce sujet où plusieurs connaisseurs sont rassemblés.
J'ai monter un distributeur danfoss pvg32 sur une pelle rétro. Mais quand je fais une fin de course, des gros claquement retentissent dans la pompe à engrenages sur pto. Je pense que le tarage du distributeur est trop important mais je n'en suis pas sur, donc si quelqu'un peut me renseigner à se sujet ou me dire comment modifier le pression de service je suis preneur

JJF
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Re: ces hydrauliciens qui ne prennent jamais leur retraite

Message par JJF » 02 nov. 2021, 11:36

Bonjour
J'étais cataloguiste chez SECMAFER pendant un an.
Il y avait deux types d'attache pour ses tracteurs d'avions : la barre-vérin mobile puis la roue avant de l'avion que l'on clipsait à l'arrière du tracteur
Ces engins pouvaient tirer l'avion à 60 km/h
Quant au dumper, il était le plus gros à l'époque (100 ou 150 T de charge), et le seul à 4 roues non jumelées. M. Boyer pdg jouait un peu sur les mots tonnes et tons...
Je n'ai pas connu les chenilles
Mon premier catalogue, la machine "mille-pattes" pour déposer et reposer les traverses des voies
Un projet de Coco Pacifico en Argentine reliant les 2 océans par voie ferrée et motrice Secmafer n'a pas abouti. C'est peut-être elle qui avait une "taille de guêpe" pour gagner un peu en courbe
On a réalisé la voie TGV du Shah d'Iran (pour aller prier)
Quelques souvenirs...

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