Etudiants et Jeunes Agriculteurs d’Europe et d’Afrique ont maintenant moins d’un mois pour s’enregistrer au concours «Farming By Satellite». Cette importante compétition met au défi de proposer des projets démontrant comment la technologie satellitaire peut améliorer la production, l’efficacité et réduire l’impact environnemental de l’agriculture.
Les organisateurs confirment que plus de 10 pays sont déjà représentés pour le moment dans la compétition mais ils en espèrent plus. Le total des prix pour le concours «Farming By Satellite» est de 13 000 €. La France doit être partie prenante ! Les meilleures idées et potentielles applications ne pourront être prises en compte que si elles sont soumises avant le 14 avril 2014. Attention, la première étape est un pré-enregistrement obligatoire avant le 28 février 2014 sur le site du Concours www.farmingbysatellite.eu
Ce concours est une initiative de l’Agence pour le GNSS européen, l’agence de l’Union Européenne en charge des activités de navigation par satellite. Il est sponsorisé par Claas, fabricant d’équipement agricole et par Bayer Crop Science, expert dans la protection des cultures agricoles. Le but de cette compétition est de promouvoir l’usage de la navigation par satellite dans l’agriculture et ses bénéfices pour les utilisateurs.
Les projets peuvent être proposés individuellement ou en équipe et les participants doivent être âgés de moins de 32 ans. Les lauréats peuvent soumettre des études de cas d’essais, de nouvelles idées, des innovations, notamment celles qui utilisent EGNOS, le futur système Galileo ou Copernicus (le programme européen d’observation de la terre). Gian-Gherardo Calini, Chef du départment Market Development de la GSA a déclaré : «Nous cherchons des solutions créatives qui emploient la technologie satellitaire gratuite en aidant les agriculteurs partout dans le monde. Nous attendons des propositions d’équipes commerciales mais également d’étudiants en agriculture, en horticulture et en science de la vie. C’est une opportunité fantastique pour les jeunes de mettre en avant leurs idées et de les confronter à des entreprises majeures et à d’autres chercheurs.»
